SNUEP-FSU Grenoble 2012-2013

Un nouveau SITE Académique

http://snuep-fsu-grenoble.eklablog.fr/

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Cliquez sur l'image pour consulter notre nouveau site académique !!!!!

Année Scolaire 2011-2012:

Juin Juillet Août 2012
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Le SNUEP-FSU GRENOBLE vous souhaite une bonne fin d'année scolaire.
* POUR 2012-2013 veuillez consulter notre nouveau site internet académique du SNUEP-Fsu Grenoble à l'adresse suivante:
* http://snuep-fsu-grenoble.eklablog.fr/ *

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Mai Juin 2012
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MUTATIONS INTRA 2012:

http://www.snuep.fr/mutations/

http://www.snuep.fr/publications/intra2012.pdf

SNUEP FSU GRENOBLE:

* Nos Commissaires Paritaires *

* Dutertre Danièle: dandutertre@yahoo.fr
* FAVRE Michel: mic.favre@wanadoo.fr
* Valérie Bret: v.mo.bret@wanadoo.fr
* Jean-Claude VINCENSINI: vincensini.jc@orange.fr

AVRIL 2012

AVRIL 2012
VENEZ NOMBREUX !!!!!!

Mobilisation générale : la DHG ne passera pas !

Mobilisation générale : la DHG ne passera pas !
Arrêter l’hécatombe, dénoncer la spirale infernale, se faire entendre sur la DHG dans les établissements pour préparer la mobilisation nationale, c'est important pour faire entendre la voix de l'enseignement professionnel public: http://snuepeducation.eklablog.com/mobilisation-generale-la-dhg-ne-passera-pas-a38236852

Janvier-Février 2012: Echos d'actions dans les LP et SEP de l'académie de Grenoble

Janvier-Février 2012: Echos d'actions dans les LP et SEP de l'académie de Grenoble
CHAMBERY (73) Habillés de noir, le visage dissimulé par des masques blancs, les enseignants du lycée professionnel de la Cardinière, à Chambéry, ont protesté contre la menace de suppression de douze postes pour l’an prochain.

- Jeudi 2 Février 2012 - La grogne monte dans les LP de l'académie de Grenoble

- Jeudi 2 Février 2012 - La grogne monte dans les LP de l'académie de Grenoble

Le 31 janvier 2012-Mobilisation forte nécessaire-Tous en Grève et à la Manif Nationale

Le 31 janvier 2012-Mobilisation forte nécessaire-Tous en Grève et à la Manif Nationale
Avec la généralisation du bac pro 3 ans, le développement de l’apprentissage à niveau V et IV, les dérives de l’autonomie des établissements, la tentative de passage en force sur l’évaluation des enseignants, la politique de casse du service public de l’éducation a profondément dégradé les lycées professionnels. Dans notre académie à la rentrée 2012, -187 postes supprimés dans la voie professionnelle sur les 260 suppressions du 2° degré !!!!!

Débat public: Quels choix pour l’école ? Les 20 propositions de la FSU !!!!

Débat public: Quels choix pour l’école ? Les 20 propositions de la FSU !!!!
** Grand débat public "Pour créer les conditions de la réussite de tous" Avec la participation de Bernadette GROISON SG de la FSU *** Samedi 28 janvier à Valence (26)

Bienvenu(e) sur le BLOG Académique du SNUEP-FSU Grenoble

samedi 26 mai 2007

* Mouvement intra académique 2007 : CAPA Académie de Grenoble *


POUR NOUS CONTACTER :

Jean Claude Vincensini (Commissaire Paritaire) :


Hervé Crouzet (Secrétaire Académique) :

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DIPER E le 26 avril 2007 - Calend.FPMA2007.doc

CALENDRIER FPMA et CAPA

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Mouvement intra 2007

Dans le cadre du mouvement intra académique 2007, les FPMA (formation paritaire mixte académique) et les CAPA (commission administrative paritaire académique) pour l'affectation en établissement, se tiendront en juin 2007.

Vous trouverez ci-dessous le calendrier précis pour les :
  • Capétiens (Pour la défense de votre dossier contactez le SNES-FSU - s3gre@snes.edu -),
  • PLP et CPE (Pour la défense de votre dossier contactez le SNUEP-FSU ),

  • Profs d’EPS (Pour la défense de votre dossier contactez le SNEP-FSU ).

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Vendredi 15 juin 2007 :

  • Matin - Déclarations préliminaires : À partir de 10 h 30 (salle 181)

  • Après Midi - Technologie, Documentation à 14h00 (salle 181)


  • -------------- - CPE : 16 h 30 (salle 426)

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Lundi 18 juin 2007 :

  • Matin - Philosophie ; Arts plastiques/arts appliqués ; Musique ; SES ; Italien ; Allemand ; Autres langues à 9 h 00 (salle 181)

  • Après Midi - Physique et physique appliquée ; Histoire géographie à 14 h 00 (salle 181)

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Mardi 19 juin 2007 :

  • Matin - Espagnol ; Maths à 9 h 00 (salle 181)
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  • Après Midi - PLP à 15 h 00 (salle 181)

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Mercredi 20 juin 2007 :

  • Matin - STI-STE ; SVT et Biochimie à 9 h 00 (salle 181)
  • Après Midi - COP à A 14 h (salle 428)

  • ------------ - EPS à 14 h 00 (181)

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Jeudi 21 juin 2007 :

  • Matin - Lettres à 9 h 00 (salle 181)
  • Après Midi - Anglais à 14 h 00 (salle 181)

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mardi 22 mai 2007

* Education : les syndicats de la FSU reçus mardi 22 mai par le nouveau ministre de l'Education Nationale (Xavier DARCOS) *

Les syndicats reçus mardi 22 et mercredi 23 mai
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par le nouveau ministre de l'Education Nationale
(Xavier DARCOS)
Le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, a entamé mardi 22 mai une série de rencontres avec les fédérations syndicales de l'éducation, un "premier contact général" qui devrait se poursuivre jusqu'à la fin de la semaine prochaine.

Le ministre a ouvert cette série d'entrevues en recevant à 16h une délégation de la Fédération syndicale unitaire (FSU, premier syndicat de l'éducation), emmenée par son secrétaire général, Gérard Aschieri, le SNUEP-FSU étant représenté par Jean Claude Duchamp (Secrétaire national).


"Nous venons avec plusieurs dossiers urgents, notamment une demande d'abrogation du décret Robien, ainsi que la question des effectifs de la rentrée 2007", a déclaré Gérard Aschieri en arrivant au ministère.

Le décret Robien, une "épée de Damoclès" :

Depuis plusieurs mois, la totalité des syndicats de l'éducation réclame l'abrogation d'un décret pris par le prédécesseur de Xavier Darcos, Gilles de Robien, qui modifie le temps de travail et la mission des enseignants.

La question de la carte scolaire devrait également être évoquée lors des rencontres avec le ministre. "Nous sommes prêts à discuter de ce sujet, mais nous restons persuadés qu'une suppression de la carte scolaire ne serait pas une bonne chose", a expliqué Gérard Aschieri.

Le secrétaire général de la FSU réclame "un vrai dialogue et des gestes d'apaisement. On ne peut pas négocier avec un pistolet sur la tempe, et la priorité c'est de lever l'épée de Damoclès du décret Robien", a-t-il ajouté.

Manifestations mercredi 23 mai :

Le Snes-FSU organise mercredi un rassemblement, à partir de 10h00 devant la gare des Invalides à Paris, en commun avec le Snep-FSU (éducation physique et sportive) et le Snuep-FSU (enseignement professionnel), toujours pour l'abrogation des mesures Robien.

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Information à la presse

Madame, Monsieur,
Vous trouverez ci-dessous la lettre que l’intersyndicale nationale second degré adresse aujourd’hui au nouveau ministre de l’Education nationale, lui demandant l’abrogation des décrets modificatifs des décrets de 50.

CNGA, FEP-CFDT, SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNALC-CSEN,

SNCL-FAEN, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNETAA EIL,

SNFOLC, SNPEFP-CGT, SNUEP-FSU,

SUD-EDUCATION, SUNDEP, UNSEN-CGT

Monsieur Xavier Darcos
Ministre de l’Education Nationale
110 rue de Grenelle
75007 PARIS
Paris, le 21 mai 2007


Depuis plusieurs mois, l’intersyndicale rassemblant la quasi-totalité des syndicats enseignants du second degré et représentant plus de 99% des personnels, est dans l’action contre les textes modifiant les décrets statutaires et les décrets de 50 organisant le service des enseignants du second degré.
Ces textes ont été publiés au journal officiel du 13 février 2007, malgré l’opposition de l’intersyndicale et la mobilisation importante des personnels dans la durée.

En effet, les conséquences désastreuses de ces décisions sur la rémunération et les conditions de travail des enseignants ont provoqué un vif émoi et la colère dans la profession, ce qui a justifié la mobilisation massive du 18 décembre 2006 et du 8 février 2007, ainsi que les mobilisations unitaires dans les établissements tout au long de ces derniers mois. Le conflit demeure à ce jour.
A l’occasion de votre prise de fonction, Monsieur le Ministre, l’intersyndicale nationale du second degré tient à réaffirmer sa totale opposition à ces textes et à rappeler ses revendications :

  • Abrogation du décret sur les obligations de service.
  • Ouverture de discussions sur la prise en compte de la charge de travail des enseignants.
  • Rétablissement des emplois supprimés à la rentrée 2007.

Nous attendons des réponses positives à ces demandes qui marqueraient un premier signe positif pour la reprise de véritables négociations.

La préparation de l’année scolaire 2007 étant bien avancée, l’intersyndicale vous demande donc de la recevoir, dans les meilleurs délais en audience, sur ce dossier.

Vous remerciant par avance de la prise en compte de notre demande, nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de nos salutations distinguées.

  • Présidente du CNGA-CGC - Marie - Elisabeth ALLAINMAT
  • Secrétaire Général FEP-CFDT - Xavier NAU
  • Secrétaire Général SE-UNSA - Luc BERILLE
  • Secrétaire Général SGEN-CFDT - Jean-Luc VILLENEUVE
  • Président du SNALC-CSEN - Bernard KUNTZ
  • Secrétaire Général SNCL-FAEN - Marc GENIEZ
  • Secrétaire Général SNEP-FSU - Jean LAFONTAN
  • Co-Secrétaire Général SNES-FSU - Bernard BOISSEAU
  • Secrétaire Général SNETAA-EIL - Christian LAGE
  • Secrétaire Général SNFOLC - Marie Edmonde BRUNET
  • Secrétaire Général SNPEFP-CGT - Thomas JANIER
  • Co-Secrétaire National SNUEP-FSU - Jean-Claude DUCHAMP
  • Co Secrétaire SUD Education - Laurence PENNEQUIN
  • Co-Secrétaire Général SUNDEP - Robert ANDRESEN
  • Secrétaire Général UNSEN – CGT - Denis BAUDEQUIN

lundi 21 mai 2007

* Actualité-action : journée intersyndicale du 23 mai *


Motion du Bureau National
du 10 mai 2007 :
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" Actualité et action "
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Avec une participation importante, les Françaises et les Français ont désigné le candidat de l’UMP comme le prochain Président de la République.
Si le taux de participation ne peut que nous réjouir, le programme du candidat élu nous inquiète. Il n’y aura pas de rupture avec la politique libérale menée ces dernières années :
  • réforme des retraites,
  • perte du pouvoir d’achat,
  • casse des services publics notamment dans l’enseignement professionnel : fermeture des postes, de sections, développement de l’apprentissage, …..) ; elle risque même d’être amplifiée puisque le Président élu a réaffirmé, entre autres choses, pendant sa campagne, sa volonté de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux, de « mettre le paquet » sur l’apprentissage et de remettre en cause le droit de grève.

Nicolas Sarkosy s’est engagé à revenir sur l’apprentissage-junior, sur le décret de Robien mais en contrepartie, d’après le rapport Darcos, il est question :

  • de faire travailler les enseignants pendant la durée de stage de leurs élèves sans contrepartie,
  • de laisser la part du mérite grandir, ….

Le SNUEP jugera aux actes et rappelle son opposition à la poursuite effrénée du développement de l’apprentissage.

S’il s’est engagé à augmenter le pouvoir d’achat, le SNUEP s’opposera à ce que cela se fasse par la suppression massive de postes ou par la profusion d’heures supplémentaires.

Plus que jamais le SNUEP-FSU devra porter les propositions et revendications des personnels et s’opposera à toutes les régressions concernant les libertés, l’éducation, les services publics, les droits sociaux.

Le SNUEP rappelle son attachement au caractère national de l’éducation et des diplômes. Remettre en cause les conditions de travail des enseignants constituerait un pas supplémentaire vers la privatisation de l’Education Nationale et la marchandisation du secteur de l’Education au détriment d’une formation équitable, et donc d’une réussite égale pour tous les jeunes.

L’Education doit rester nationale, publique et laïque.

Nous devons sans relâche informer les personnels et les parents sur les dangers qui menacent la formation des jeunes et l’enseignement professionnel public.

L’avenir de notre jeunesse mérite un investissement massif dans les services publics et une formation de qualité prenant en charge le jeune dans sa globalité, en formant le futur travailleur et le citoyen.

Dans ce contexte, le SNUEP-FSU appelle les personnels à renforcer leur syndicat et à réaliser l’unité syndicale la plus large afin de pouvoir peser plus efficacement lors des négociations et des mobilisations nationales ou locales à venir.

Le SNUEP appelle les personnels à se mobiliser, sous quelques formes que ce soient, lors de la journée intersyndicale du 23 mai prochain (assemblée générale, lettre en direction des candidats aux législatives avec copie aux parents, rassemblements locaux, etc. …..)

* Rencontre avec le SNES sur les enseignements technologique et professionnel *


Réunion du vendredi 4 mai 2007

Le SNUEP et le SNES se sont rencontrés pour leur permettre d’avoir un échange sur les méthodes d’enseignement professionnel et sur les points communs avec l’enseignement technologique

Elle s’est déroulée en deux temps :

  • Une réflexion sur les passerelles éventuelles qui pourraient exister entre le LP et le LEGT. Pour les élèves de BAC PROFESSIONNEL qui souhaiteraient continuer vers un BTS ou pour les élèves issus de seconde en difficulté mais aussi pour ceux ayant un BAC TECHNOLOGIQUE (ou GENERAL) qui veulent une orientation professionnelle.

  • Un échange sur le collège et les problèmes liés à l’orientation vers le LP, les DP3 ou 6 * qui peuvent être le lien de la découverte soit de l’enseignement professionnel, soit de l’enseignement technologique.
  • Puis une réflexion sur la façon d’envisager les parcours de formation avec le « collège pour tous » ou bien un « autre collège ».

La discussion a aussi abordé le cloisonnement actuel qui reste très marqué entre les deux voies, Technologiques et Professionnelles.

Le SNUEP et le SNES ont partagé la même analyse sur les problèmes récurrents de l’orientation par défaut qui augmente les situations d’échec. Comment faire pour que l’orientation soit positive et valorisée avant la sortie du collège ?

Nous avons aussi réfléchi sur la façon d’établir une fluidité pour aller d’un lieu à un autre, passer du LP au LEGT et inversement.

Le SNUEP est favorable aux passerelles dans la mesure où cela doit rester « à la marge » et parce qu’il est alors possible de gérer l’hétérogèneïté d’élèves venant de niveaux diffèrents et d’éviter la ghettoïsation

Les deux syndicats se sont félicités de cet échange qu’ils ont trouvé positif.

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* " DP3 " : classe de 3ème dont l’emploi du temps comporte trois heures de découverte en milieu professionnel (voir BO n°11 du 17-3-2005)
" DP6 " : selon les académies ces classes de 3ème sont implantées en collège ou en LP et comportent six heures de découverte du milieu professionnel.

* Conclusions du Secrétariat National du SNUEP-FSU sur le rapport DARCOS *

" LA VAGUE DU LIBERALISME MENACE L’ECOLE "

Le rapport -1- de Xavier DARCOS, ex-secrétaire d’Etat, devenu aujourd’hui Ministre de l’Education, démontre que le nouveau gouvernement tente de faire passer les principaux axes d’une nouvelle politique de l’Education Nationale en s’appuyant sur la lassitude et le désarroi des professeurs.
Cette manœuvre n’a d’autre but que de légitimer les propositions, entre autres, du Medef et des directives européennes et internationales en matière de formation professionnelle.
Comme souvent, lorsque certains lobbies politiques souhaitent « toucher à l’Ecole », on fait preuve de la complaisance la plus primaire. Le débat stérile sur le vouvoiement à l’école illustre bien cette démarche.

Les différentes politiques en matière éducative des gouvernements successifs n’ont engendré que :

  • des réductions massives de postes,
  • assorties le plus souvent de limitations du contenu des enseignements fondamentaux,
  • mais aussi d’une baisse importante du pouvoir d’achat des enseignants.

Trop souvent le manque de considération, d’une grande partie de la population, à l’égard des enseignants, seuls face aux difficultés d’enseigner, a été accompagné d’un renvoi des responsabilités sur les professeurs, ce qui évitait d’avoir à répondre favorablement à leurs revendications légitimes, d’ailleurs plus pédagogiques que personnelles ( Cliquez pour avoir un exemple en la matière ! ).

Nos concitoyens étant très souvent largement désinformés, la démagogie populiste a pu reprendre le dessus : il a suffi qu’un futur ministre fasse semblant de reconnaître les bas niveaux de rémunération des enseignants et cette absence de reconnaissance dont ils étaient victimes, pour qu’une partie de la population souscrive à ses annonces.

Mais que l’on ne se trompe pas, les propositions de Xavier DARCOS ont le mérite de la clarté.

La gestion des établissements et des enseignants répond aux principes de la LOLF.

La réforme de la carte scolaire ne se fera dans ce cadre que pour des objectifs très précis.

La culture du résultat s’oppose à notre mission qui est de former la totalité d’une classe d’âge.

C’est pourquoi nous estimons que :

  • les méthodes d’évaluation des enseignants,
  • l’institution de primes à la performance,

ne doivent pas avoir de place dans l’Ecole publique et laïque de la République.

Le ministre Xavier DARCOS propose purement et simplement des outils qui correspondent tout à fait à une école en voie de privatisation, dont la gestion relève davantage de l’entreprise que du Service Public.

Les Français, qui ont la chance de disposer d’un véritable emploi, n’ont jamais souhaité majoritairement travailler plus, mais ils ont toujours exprimé la volonté de permettre à ceux qui en sont privés d’en trouver un.

En proposant de travailler plus pour gagner plus, en défiscalisant les charges sociales sur les heures supplémentaires, cadeau aux entreprises, le nouveau gouvernement s’engage dans une voie dangereuse pouvant réduire le dynamisme économique.

Espérons simplement que les Françaises et les Français ne seront pas obligés d’assurer des heures supplémentaires pour, un jour, pouvoir bénéficier de services qui n’auront de publics que le nom !

Ainsi, le Ministre Xavier DARCOS est dans la droite ligne de l’objectif gouvernemental :

  • aucune proposition d’augmentation de traitement,
  • mais des heures supplémentaires pour assurer les heures de travail qui deviendraient disponibles,
  • du fait de la suppression massive des postes.

Tout cela en obérant les véritables charges de travail ou en les augmentant insidieusement, en considérant par exemple que les périodes où les élèves sont en entreprises doivent être rentabilisées par les enseignants, en les employant différemment !

Ce rapport purement comptable, et qui n’a par ailleurs aucun aspect pédagogique, traduit la volonté de bouleversement de notre école.

Le décodage sera difficile pour ceux qui ne sont pas au cœur du système ou qui se sont laissés convaincre par une désinformation permanente ( Cliquez pour avoir un exemple en la matière ! ).

R PASINI – F BONNET ( SNUEP-FSU NATIONAL )
-1- dont vous trouverez les principales mesures en cliquant sur :

* La FSU reçue dans les ministères : Compte Rendu des AUDIENCES *


AUDIENCE AVEC ERIC WOERTH
(Ministre du budget, des comptes publics
et de la fonction publique)
L’audience nous a été accordée très vite mais le ministre nous a d’emblée précisé qu’il ne s’agissait que d’une prise de contact et qu’il ne pouvait pas nous répondre.
On peut se demander si le but de cette série de rencontres avec les organisations de fonctionnaires n’avait pas pour but essentiel de montrer qu’il s’occupait aussi des fonctionnaires et pas seulement du budget.
Après nous être interrogés sur le découpage et les missions du ministère, nous avons rappelé nos demandes sur un certain nombre de dossiers :
  • emploi,
  • salaires et carrières,
  • représentativité
  • et retraites.

Le ministre n’a répondu que par quelques généralités :

  1. Il se veut « ministre des moyens de l’Etat » et parmi ces moyens il y a les fonctionnaires qu’il considère comme « prioritaires ».
  2. Il a bien la responsabilité des 3 fonctions publiques.
  3. Il confirme l’objectif d’un fonctionnaire sur deux non remplacé au moment de son départ en précisant que cela concerne la FPE.
  4. Il convient de la nécessité de traiter du pouvoir d’achat sans plus préciser mais en nous interrogeant sur nos demandes.
  5. Il tient un discours sur la nécessité de traiter des valeurs de la FP.


AUDIENCE AVEC XAVIER DARCOS

(Ministre de l’éducation nationale)


Nous avions convenu de rappeler nos objectifs en matière d’éducation, de rappeler notre représentativité et notre volonté de dialogue. Et nous avions choisi de présenter les multiples dossiers autour de 3 thèmes :

  • Les mesures « d’apaisement » et de rupture avec la politique antérieure : abrogation des décrets de Robien, postes pour la rentrée, sanctions contre les directeurs d’école, EVS, notation IATOS,…
  • Les grands dossiers à discuter : Education prioritaire, socle commun, apprentissage, orientation, précarité, IUFM et formation,…
  • Les déclarations ministérielles ou présidentielles sources de conflit : carte scolaire, service minimum.

Après une courte introduction du ministre affirmant sa volonté de dialogue, la discussion a promis d’aborder tous ces thèmes.

Le ministre, manifestement mandaté pour afficher un intérêt marqué pour la situation des enseignants, a sans cesse affiché l’ouverture, en esquivant les sujets conflictuels en recherchant les points de consensus.

Cela a été particulièrement caractéristique sur le dossier de la carte scolaire où il s’est dit d’accord avec l’objectif de mixité sociale et a affirmé vouloir rechercher la « justice » et niant la volonté d’introduire un « grand marché libéral dans l’éducation » ; il a ainsi insisté sur le fait que l’assouplissement qu’il annonçait devrait s’accompagner de règles d’obligation de mixité sociale ; et il s’est dit d’accord avec notre proposition d’une répartition des moyens sur la base du nombre d’élèves attendus en fonction du secteur et non des élèves effectivement présents. Mais il n’en a pas moins gardé le cap fixé par N.Sarkozy.

Il s’est efforcé également de désamorcer la polémique sur le vouvoiement en niant toute volonté de l’imposer.

Il a beaucoup insisté sur la volonté présidentielle de revaloriser les enseignants.

Mais au final si beaucoup de sujets ont été abordés et s’il a affiché beaucoup d’ouverture, il ne s’est engagé concrètement sur quasiment rien et il est apparu très vite que la question des moyens et des postes ne recevrait pas de réponse positive.

On peut résumer ainsi les principaux éléments de ses réponses :

  1. Dossier EVS : engagement à traiter la question de la reconduction d’ici environ un mois.
  2. Ouverture en juin d’une table ronde ou conférence sur le métier d’enseignant aboutissant à un « livre blanc » d’ici octobre.
  3. Décrets de Robien : affichage d’une volonté de répondre à nos demandes mais pas de réponse précise avant environ une semaine.
  4. Confirmation de la « liberté pédagogique des enseignants »
  5. Confirmation d’un accord pour l’abrogation de l’apprentissage junior mais sans engagement précis.

dimanche 20 mai 2007

* Rectorat de Grenoble - année 2006-2007 - : Le point sur les labellisations des "lycées des métiers". *


Ci-dessous les dernières informations concernant les labellisations des "lycées des métiers" dans notre académie.

Pour plus de détails vous pouvez consulter le site :

RECTORAT Grenoble - année 2006-2007 - :
Le point sur les labels "lycée des métiers"

1°/ Commission décembre 2006 :

Cinq nouveaux établissements ont reçu le label "lycée des métiers"

  • LPO Léonard de Vinci Villefontaine - 38 (Métiers de l'Audiovisuel et du Désign)
  • LP Jean-Claude Aubry Bourgoin-Jallieu - 38 (Métiers des Arts et des Techniques de l'Industrie)
  • LP Georges Guynemer Grenoble - 38 (Métiers de l'Automobile et de la Maintenance des Engins de Travaux Publics)
  • LT Privé Montplaisir Valence - 26 (Métiers des Technologies Médico-social, de l'Administration et de la Gestion de l'Entreprise)
  • Lycée Privé Notre Dame Privas - 07 (Métiers des carrières Sanitaires et Sociales)

Une soirée de remise officielle des labels a eu lieu le mercredi 13 décembre 2006 au lycée professionnel Guynemer de Grenoble en présence de Monsieur le Recteur.

2°/ Commission du 29 mars 2007 :

6 établissements ont obtenu l’avis favorable de la commission de labellisation « Lycée des métiers » du 29 mars 2007

  • EPLE-FPA Chambéry – 73 La Motte Servolex (Lycée des métiers de l’Agriculture et de l’Environnement en Montagne)
  • Lycée Henri Laurens – 26 Saint Vallier (Lycée des métiers de l’Automobile)
  • Lycée Savoie Léman – 74 Thonon les Bains (Lycée des métiers de l’Hôtellerie – Restauration)
  • Lycée Sainte Anne – 74 La Motte Servolex (Lycée des métiers de l’Energie et des Process)
  • Lycée Elie Cartan – 38 La Tour du Pin (Lycée des métiers des Equipements Industriels et du Textile)
  • ESCR Ste Famille - 74 La Roche sur Foron (Lycée des métiers de la Comptabilité et de la Gestion)

3°/ Commission du 26 avril 2007

Cette année, 5 lycées de l'Académie labellisés en 2002 ont renouvelé leur label, ces 5 établissements ont obtenu l'avis favorable de la commission de renouvellement des labels "Lycée des Métiers"

  • Lycée Les Catalins – Montélimar (Lycée des Métiers du transport et de la logistique)
  • Cité scolaire Pablo Neruda – St Martin d’Hères (Lycée des Métiers de l’électricité)
  • Lycée Hôtelier de Grenoble (Lycée des Métiers de l’hôtellerie – restauration)
  • Lycée Monge – Chambéry (Lycée des Metiers de la création industrielle)
  • Lycée Général Férié – St Michel de Maurienne (Lycée des Métiers de la montagne)

Le label « Lycée des Métiers » n’est pas définitif : attribué pour une durée de 5 ans, cet engagement des équipes éducatives dans une démarche qualité doit être périodiquement évalué afin d’actualiser les axes de progrès, les objectifs, et préserver ainsi la valeur du label.

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Rappel : Position du SNUEP-FSU sur le L.D.M.

Le SNUEP considère que le Lycée des Métiers est un élément de la décentralisation.

Il ne doit ne doit pas devenir un outil au service d’un marché de la Formation Professionnelle, ce qui est susceptible de conduire à certaines dérives sous la pression des Régions et des branches professionnelles.

La collaboration avec les entreprises ne peut se concevoir que dans le cadre d’actes de complémentarité au service des activités pédagogiques sous le contrôle de l’Education nationale.

Le groupement d’intérêt public (GIP) introduit des logiques marchandes incompatibles avec notre conception du service public. Le L.D.M. ne doit pas être le creuset de la précarité ni marginaliser les formations qui n’existent pas sous forme de filière complète.

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* Le dur métier de prof : Pour tenter de faire barrage à la bétise ! *

" Trop de vacances, trop bien payés, 27 heures par semaine, 18 pour les profs...autant de clichés et de contre-vérités scandés jusqu’à s’en persuader. Quelques arguments pour alimenter les repas de famille et les discussions de comptoir... "

ELOGE à la bétise !
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Courrier des lecteurs « Le Dauphiné Libéré »

(4 avril 2007) - Mr. X Chantemerle-Les-Blés (26)

Le dur métier de prof

" Eh oui, la France à ses profs... C’est encore une spécialité franco-française, comme les 35 h, la retraite à 50 ans pour les roulants de la SNCF ou les cinq candidats trotskistes à la présidentielle.

Et je ne vous parle pas des deux mois de grève tous les trois ans... ça ne fait même pas un mi-temps pour 2000 euros de salaire en début de carrière !

Et quand De Robien leur demande un effort, les voilà repartis pour leur sport favori , la marche à pied !

L’Education Nationale c’est 1,3 million de fonctionnaires pour 13 millions d’élèves: je vous laisse à vos calculettes !

... En plus, si leur copine Super Nanny est élue elle abroge la loi Fillon et ils partiront à nouveau à la retraite à 55 ans. Elle est pas belle la vie ! Et si, elle est tellement belle qu’elle laisse même les imbéciles s’épanouir sous le soleil ! "

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( à noter que Le Dauphiné a fait le choix ce jour-là, non seulement de publier ce courrier fait uniquement de clichés aux relants populistes, aux propos méprisants, haineux, qui n’est qu’un tissu de contre-vérités, mais en plus le journal a décidé de le mettre particulièrement en valeur, au centre de la rubrique, encadré et en caractères gras. Sans doute en toute impartialité ! )

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Quelques explications historiques pour tenter de faire barrage à la bétise de certains, ou en tout cas pour espérer en limiter les dégats !

Actuellement, le temps de travail d’un enseignant de collège ou de lycée est de 18 heures par semaine (*).

C’est pour les profs, le seul élément fixe et clair relatif au temps de travail qui leur est demandé. Il a été fixé par un décret datant de 1950.

Rendez-vous compte ! 18 heures par semaines ! En effet quel salarié ne voudrait pas travailler aussi peu pour d’aussi bons salaires ?

Comment le législateur a-t-il pu créer en 1950 un statut aussi avantageux ?

En réalité, ce temps a été conçu en prévoyant qu’un enseignant travaille 1,5 heures chez lui pour une heure devant les élèves afin de préparer ses cours, évaluer les élèves et actualiser ses connaissances dans sa discipline. Cela fait 18 fois 2,5 heures, soit 45 heures hebdomadaires. Le temps de travail légal de l’époque était de 40 heures par semaine, (en réalité environ 42 h par semaine) sur 50 semaines.

De fait, le législateur a tout prévu (temps de travail et vacances) et cela de deux façons :

  • D’abord en annualisant le temps de travail des enseignants. 45 heures dues quand les autres salariés en devaient 42... ça c’est pour les petites vacances (Toussaint, Noël...). A noter que pour les enseignants du premier degré le calcul a été différent pour diverses raisons, mais le principe identique.
  • Mais et les deux mois d’été alors ? Là, c’est un tout petit peu plus compliqué. Cela se situe au niveau de la grille des salaires. Notre grille a été elle aussi fixée en 1950 . Pour les profs au même niveau que les autres cadres de la fonction publique recrutés avec un concours au niveau bac + 3 (catégorie A). A un niveau inférieur pour les instits recrutés au niveau bac (catégorie B), mais le «mécanisme» là-aussi est strictement identique. A cette grille, il nous a été retiré deux mois de salaire, puis le résultat a été divisé par douze. Prenons l’exemple cher à notre «écrivain éclairé»: si un inspecteur des impôts (catégorie A) est payé 2000 euros par mois, il recevra 24 000 euros par an, alors que pour la même qualification un enseignant percevra selon la même grille 2000 euros par mois... mais sur dix mois, soit 20 000 euros par an. Cette somme est ensuite divisée par 12 et donne 1667 euros par mois.

Eh oui... les enseignants ne sont pas payés pendant les grandes vacances !

On l’oublie, on n’en parle pas, et puis du coup, ça énerve et ... on écrit (ou plutôt on vomit sa haine du voisin) au journal du coin, forcément intéressé par le «casse croûte» !

Alors oui le décret de 1950 est vieux ! Oui, il est vraiment temps de le toiletter comme le disent nos gouvernants. Mais dans quel sens ?

Car depuis 1950, que s’est-il passé ?

Il y a eu depuis de formidables avancées pour l’ensemble des salariés :

  1. la troisième semaine de congés payés en 1956,
  2. les 40 heures réelles au début des années 70 (elles étaient un droit depuis 1936),
  3. puis les 39 heures et la cinquième semaine de congé payé en 1982,
  4. enfin les 35 heures en 2000.

Et pendant tout ce temps aucun changement notable pour les enseignants.

En clair, pendant que le temps de travail hebdomadaire pour l’ensemble des salariés baissait fort légitimement de 25%, celui des enseignants restait identique... toujours calculé sur les bases du décret de 1950 !

S’il ne s’agit pas de revendiquer à travers cette explication une diminution de notre temps de travail ou une revalorisation de nos salaires, même si tout cela reste légitime et relève même de l’urgence,... au moins qu’on cesse les caricatures et que dans ce pays, enfin, on arrête de déconsidérer et de dénigrer les enseignants, à commencer par nos ministres !

(*) Comme notre «adepte» du courrier des lecteurs argumente sur «les profs», nous avons choisi de prendre les mêmes références horaires. Mais le raisonnement serait le même s’agissant des enseignants du premier degré...à quelques détails prés, et notamment le temps de travail. Ceci explique peut-être cela.

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Pour tenter de faire barrage à la bétise ...... !

RENFORCEZ L’AUDIENCE ET L’EFFICACITE

Des Syndicats de la FSU SYNDIQUEZ-VOUS !

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* Restructuration du LP du Nivolet (La Ravoire 73) *

Derniéres nouvelles du LP du NIVOLET
après des mois d'action !
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Pause après une longue lutte ! On va laisser l'histoire se tasser, la région semble devoir nous accorder quelques graces..
Pour faire court nos formations "gros oeuvre" et "finition" ne seront pas délocalisées au CFA ( nous avons gagné ce combat).
En revanche la prochaine restructuration de nos ateliers se fera dans le cadre d'une mutualisation CFA- LP, tous nos ateliers seront mutualisés ce qui laisse présager de belles années à venir ( partage des locaux et des machines avec le CFA).
On peut tres bien imaginer qu'elles seront les difficultés de fonctionnement entre une entité privée et une autre publique.
Jean Claude Vincensini
(Membre du Bureau Académique du SNUEP-FSU Grenoble)

* Etudiants en IUFM, Vacataires, contractuels, exMA ( "Garantis d'Emploi" MAGE et "Non Garantis d'Emploi" MANGE ) *

Informations
pour les non-titulaires
(voir au bas de ce message)
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Notre brochure nationale
et la fiche syndicale de suivi :
téléchargeables sur http://www.snuep.fr/precarite/ :
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Concours E.N. session 2008
(voir ci-dessous)
Les épreuves d'admissibilité des concours du second degré 2008 auront lieu aux dates suivantes (J.O n° 91 du 18 avril 2007) :
  • Professeurs agrégés stagiaires : - concours externe : du 1er au 17 avril 2008 ; - concours interne : du 22 au 25 janvier 2008.
  • CAPEPS : Concours externe : jeudi 7 et le vendredi 8 février 2008.
  • CAPES : - concours externe : du 4 au 19 mars 2008 ; - concours interne : le 30 janvier 2008 ; - troisième concours : du 4 au 19 mars 2008.
  • CAPET : - concours externe : les 14 et 15 février 2008 ; - concours interne : le 1er février 2008.
  • CAPLP : - concours externe : les 7 et 8 février et les 19 et 20 février 2008 ; - concours interne : le 31 janvier et 1er février 2008 ; - troisième concours : les 7 et 8 février et les 19 et 20 février 2008.
  • COP : Concours externe le jeudi 14 et le vendredi 15 février 2008.
  • CPE : concours externe le mardi 12 et le mercredi 13 février 2008.


Enseignement privé sous contrat :

  1. Les épreuves d'admissibilité des concours d'accès à des listes d'aptitude auront lieu en même temps et sur les mêmes sujets que les épreuves d'admissibilité des concours externes ou des troisièmes concours correspondants de l'enseignement public.
  2. Les épreuves d'admissibilité des concours d'accès à une échelle de rémunération auront lieu en même temps et sur les mêmes sujets que les épreuves d'admissibilité des concours internes correspondants de l'enseignement public. les épreuves d'admissibilité auront lieu aux dates suivantes :
  • CAER/agrégation : du 22 au 25 janvier 2008 ;
  • CAFEP/CAPES : du 4 au 19 mars 2008 ;
  • CAER/CAPES : le 30 janvier 2008 ;
  • Troisième CAFEP/CAPES : du 4 au 19 mars 2008 ;
  • CAFEP/CAPET : les 14 et 15 février 2008 ;
  • CAER/CAPET : le 1er février 2008 ;
  • CAFEP/CAPEPS : les 7 et 8 février 2008 ;
  • CAFEP/CAPLP : les 7 et 8 février et les 19 et 20 février 2008 ;
  • CAER/CAPLP : le 31 janvier et le 1er février 2008 ;
  • Troisième CAFEP/CAPLP : les 7 et 8 février et les 19 et 20 février 2008.

Et plus de détails avec les liens ci-dessous :

MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE,

DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE

Arrêté du 30 mars 2007 autorisant au titre de l'année 2008

Arrêté du 30 mars 2007

autorisant au titre de l'année 2008

Arrêté du 30 mars 2007

autorisant au titre de l'année 2008

  • l'ouverture de concours externe, interne et troisième concours de recrutement de professeurs certifiés stagiaires en vue de l'obtention du certificat d'aptitude au professorat du second degré (CAPES) et de concours externe et interne de recrutement de professeurs certifiés stagiaires en vue de l'obtention du certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique (CAPET) : http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=MENH0700803A

Arrêté du 30 mars 2007

autorisant au titre de l'année 2008

Arrêté du 30 mars 2007

autorisant au titre de l'année 2008

Arrêté du 30 mars 2007

autorisant au titre de l'année 2008

Arrêté du 30 mars 2007

autorisant au titre de l'année 2008

  • l'ouverture de concours d'accès à des listes d'aptitude en vue de l'obtention du certificat d'aptitude aux fonctions d'enseignement dans les établissements d'enseignement privés du second degré sous contrat et de concours d'accès aux échelles de rémunération de professeurs du second degré : http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=MENH0700807A

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Vacataires, contractuels, exMA

( "Garantis d'Emploi" MAGE et "Non Garantis d'Emploi" MANGE )


Vous pouvez consulter notre brochure Nationale et télécharger la fiche syndicale "mvt précaires", en cliquant sur le lien : http://www.snuep.fr/precarite/

Si vous avez des difficultés pour récupérer ces documents, envoyez un mail à :

, nous vous les ferons parvenir en fichier .pdf.

Ci-dessous quelques précisions données par Yves Pinot (Responsable National du SNUEP-FSU chargé des Précaires : yves.pinot@wanadoo.fr ) :

  • Pour le CDI , c'est le décret du 26 juillet 2005. Pour les MA "Garantis d'Emploi" ( MAGE), ils ne faut pas qu'ils signent le CDI, car ils sont déjà garantis d'emploi et que pour le reste, il n'y a pas de changement à ce jour.
  • ****
  • Pour les MA "Non Garanti d'Emploi" (MANGE) , les contractuels et les autres , ils peuvent signer le contrat, lorqu'ils remplissent les conditions par rapport au décret (cela veut dire 6 années complètes à la date du premier du premier
    contrat). Il faut les aider pour qu'ils signent ce contrat.
  • ****
  • Pour les CAP et CCP, elles commencent à se mettre en place, pour être opérationnelles pour les élections professionnelles de fin 2008. Il n'y aura pas de CAPA
    pour les mutations et les avancements d'échelons. Le combat continu.
  • ****
  • Sur le prochain journal du SNUEP, il y a des infos pour les non titulaires et une enquête, il faut y répondre et le dire aux autres.

Merci, d'avance. Yves Pinot (Responsable National du SNUEP-FSU chargé des Précaires : yves.pinot@wanadoo.fr )

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